Frédérique Loutz – Jau espace art contemporain

Frédérique Loutz-Stephen Marsden-Château de Jau (66) Cases de Pène exposition du 26 juin au 26 septembre de Florence JOU Bal à Jau. En pénêtrant le travail de Frédérique Loutz, on s’expose à guetter l’ombre d’une danseuse aux pas dyonisiaques et retenus. En creux, forever, plane Casanova dans ses tableaux rêvés, ses acrobaties renversantes, ses yeux multiples qui sont autant de miroirs que d’appels à une entrée dans la chair du dessin. Loutz dissémine des visages, des fragments de corps, des jeux de mots, des femmes maternelles. Elle se plaît à les superposer, à les enlacer pour que le tourbillon d’une vie explose à force de frivolités, d’apparences dans une société du spectacle en danger de représentation. . checkered phone case iphone 6 Inquiétante étrangeté d’un monde où le regardeur ne sait plus si lui-même pourra encore voler un oeuf au-dessus des coulées volcaniques d’un polyptique. iphone 8 case back and front A la croisée des langues, des couleurs saturées et de l’encre de chine, se décline l’envie pressante et urgente de la rencontre entre un homme et une femme, entre des lumières savantes et déclinantes. minion iphone 8 case Loutz touche l’esprit puis extrait les langues du corps qui s’étirent. copper iphone 7 plus case Tout un réseau de personnages entament en écho, en rebonds, sur des fils invisibles d’une toile à une autre, d’un dessin minimal à un autre plus condensé des sarabandes. . . Au final, difficile de dire s’ils sont encore vivants, en attente de vie ou en fin de trajet. phone case for iphone 7 plus disney Des spectres colorés d’un colloque sentimental et surréaliste. Lust ich. Caprices. .

! FOCUS PERPIGNAN DESSINE-MOI UNE CABANE part one.

ÇA SE PASSE PRÈS DE CHEZ VOUS IT’S HAPPENING NEAR YOU / TÉ LLOC A PROP DE CASA ! FOCUS PERPIGNAN  DESSINE-MOI UNE CABANE part one. Place Cassanyes, rdvac66@gmail.com , 5 – 25 février 2010 Si je dis « La mort de l’art ??? », l’artychienne, allongée aux côtés de son copain Hegel, le chat roux, soupire et rêvasse : « Ah ! l’amooooooooooore de l’art… ». iphone 7 plus phone cases pineapple Si je lui dis, « La mort dans l’art ??? », elle se crispe : « Les morts, les disparus, les oubliés à jamais et pour toujours ? Ou bien ce que j’ai évoqué dans mon billet précédent, m’esquivant sur une pointe d’ironie du commentaire plus grave que requiert l’œuvre de Christian Boltanski ou d’Erik Dietman ? » Court silence. – Tu veux parler de l’actualité ? Elle pose sur ma pile de papiers le communiqué de presse du musée Maillol (à Paris. Pas celui d’ici ; dounotdrim !). C’est la vie ! – Vanités de Caravage à Damien Hirst, « … un parcours singulier des vanités et de la représentation de la mort à travers les différentes périodes de l’histoire de l’art. » Plus inspirée par la lumière d’avant printemps qui fait ses premiers dans les rues d’ici, que par les grands sujets de la vie et de l’art, nous allons rôder. Dans mes poches, mon attirail : Ovide, clopes, crayon, carnet et… sait-on jamais, mon téléphone. phone case for running iphone 6 Petits tours et détours, envie d’un café au soleil. Direction place Cassanyes, comme toujours sous haute surveillance : caméras, ambulance, odeurs de menthe, de coriandre, de rôtisserie et de miel. Café fermé ! Trois courses. Échange de nouvelles avec madame Auger qui a fardé son joli sourire d’un soupçon de résignation. On va lui casser sa cabane ! L’artychienne me regarde : « Elle est triste ? » On fait demi-tour, toujours à la recherche d’un café au soleil. Je change d’itinéraire et j’en profite pour faire quelques photos que je bidouille à ma manière. (Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est l’entrée de l’ex. iphone 7 case gel école de dessin de Perpignan). cool phone cases iphone 6 for boys L’artychienne exaspérée par mon silence tire sur sa laisse et hausse le ton : « Ho ! Réponds – moi, elle est triste la bouchère ? ( c’est Madame Auger) ». – Oui, elle est triste. iphone 6 cases lumee Elle a la mort dans l’âme. – « La mort dans l’âme ???? » Qu’est ce qu’on peut faire pour elle ? Une nouvelle cabane ? Et si je vous passais la main pour un prochain billet ? En me dessinant une cabane par exemple… et pour ceux qui ne savent qu’écrire, écrivez-moi une cabane.