Ida Tursic & Wilfried Mille 6,5

Ida Tursic & Wilfried Mille 6,5 le musée de sérignan 146 avenue de la plage 34410 Sérignan FRANCE

Ida Tursic & Wilfried Mille Vintage 3D
The couple I&W are only complete when painting together, with either two (or four) hands. For their first major exhibition in a museum the artists invite us to discover the extent of their talent under the enigmatic title “6.5”. incipio iphone 6 battery case This measure describes the average gap between the two retinas that our brain uses to determine depth. The artists exhibit recent works based on the principle of ‘anaglyphs’, printed images to be viewed in 3D, using two different color filters (3D glasses) placed before each eye of the observer. kenzo case iphone 7 plus With the new Vintage 3D series, Ida Tursic & Wilfried Mille show us Pin-up’s with generous breasts, provocative without being vulgar, borrowed from Harold Lloyd, the great comic actor and a pioneer of 3D photography. constellation phone case iphone 6 The Pin-up’s sexyness is reanimated thanks to this amazing technology. iphone 7 plus cases tech 21 A pair of 3D glasses customized by the artists is available at the museum to enjoy this spectacular indulgence, a process applied for the first time using painting and engraving.

Le Bruit des Fontaines Tony Harding Jean-Christoph Alix Claude Abad Martine Trouïs

de Daniel Bégard « J’adore le bruit des fontaines La pierre humide où l’on s’assoit Adieu ma Princesse lointaine Ici bavarder va de soi. » Louis Aragon Ici, il y a le bruit des fontaines. Je pourrais vous en décrire une de remarquable dans un vieux quartier de Céret, à quelques pas (deux ruelles), d’un très honorable musée d’art moderne. Mais, qu’est ce qui doit nous importer le musée ou l’eau ?, et l’on devrait d’ailleurs dire « les eaux. » Car sans négliger, entre autres, Gris, Braque, Chagall, Picasso, Tapies, il faut compter ici avec les eaux qui ne manquent elles-mêmes ni de genres ni d’écoles. En effet il y a certes les fontaines mais aussi les rivières, les torrents, les ruisseaux, les oueds. Plus loin les étangs ( ‘’ beyond the sea ‘’) et le lac de Sigean. ( Piet Moget et ses collections) Et encore les roubines, et toujours la mer en voisine et ses ports (fantômes de Derain et de Matisse à Collioure), ses plages (Klasen, Crumb, Erro à Sérignan) puis le canal du Midi et enfin les ruissellements et le retour aux fontaines les « Trois grâces Montpelliéraines. Retour au Musée : bonjour messieurs Courbet, et Bazille, et Soulages !

étang à Bages photo doris Schläpfer
On ne parlera jamais assez des eaux, elles ont l’esthétisme dépouillé, mais elles comptent surtout pour les reflets qu’elles offrent à la lumière. iphone 7 thin case red Les bleus et les gris de la Méditerranée, les verts, les olives, les bruns ou l’argent des étangs, le teint de terre des rivières en crues qui descendent de l’arrière-pays, leur teint fantôme marqué des mines défuntes de là-haut et du deuil du travail ouvrier. Des eaux , des lumières, des peintres de naissances ou de passages. Et des vignes , et du travail. Tout se tient. Du moins cela c’est tenu assez longtemps . Aujourd’hui il y a peu d’eau aux fontaines par une sécheresse qu’aggravent les piscines de ceux qui ne travaillent pas , ou plus ici. Il y a encore du vin pour ceux qui refusent les sodas mais toujours trop pour les diktats de la prévention totalitaire. iphone 7 case hand strap Seule la lumière est immuable, car même la non-lumière des nuits est assassinée par les néons des plages. Mais des artistes , des peintres , des plasticiens il y en a-il encore ? . On en trouve.Ils ne sont ni nombreux , ni très rares. Mais tout de même plus rares que nombreux. ! Certains sont nés prés des fontaines ou des clapots . Ou bien c’étaient leurs parents et ils sont revenus pour se confronter aux légendes de la lumière de l’art au soleil et du vin . iphone 8 otterbox case Ou alors ils sont nés très loin d’ici dans les brumes des forêts ou celles de l’industrie lourde .Ils ont vu, ou pas, les Noms des musées , goûté les vins tentateurs , repéré les paysages et leur lumière , comme le marché de l’immobilier . Tout cela fait une scène artistique un peu cahotante et éclatée entre anachorètes du pinceau et tribus. Le « d’où l’on vient » compte moins que la fatalité qui s’impose ou non de se parler . personalised iphone 7 plus phone cases Ou que cet instant où la fatalité deviendra facilité pour, comme le dira d’ailleurs Aragon, se décider à chercher « un tiède abri miraculeux / dans la dentelle des arcades «. Abri qui se construit par réseaux, assez loin des parti pris d’écoles – notamment par ce que l’influence des écoles d’art si prégnante dans les grandes villes est ici dissoute ou oubliée et reniée – réseaux ou tribus qui se construisent mieux par affinités , résonances des histoires individuelles . Pourquoi sont-ils « d’ici » et non d’ailleurs Trois raisons à mon sens : Joseph Delteil, audois, qui fut dans les années trente du siècle dernier un écrivain « parisien » à succès avant de faire retour au pays, ami et compagnon des Delaunay puis de Soulages, aimait la peinture qui s ‘affichait contre « les maigres délectations de l’intellect « et pour les grands coup de vin , les grands coups d’amour «. Si sophistiquées et hétérogènes que soient leurs techniques, leurs supports et leurs modes de représentations je ne connais pas de ‘’ peintres d’ici ‘’ qui puissent être étrangers à de tels principes de bon sens . Par ailleurs , je ne pense pas qu’aucun d’entre eux , repoussent « par principe » toute notoriété , ils s’exporteraient même assez bien , toutes choses égales par ailleurs. Ainsi il y a peu de relais qui puissent les aider longtemps , et les rares galeristes qui sont toujours partie prenantes des réseaux , ou des tribus, ne sont pas en cause. Ce serait pour eux un autre métier. Les collectionneurs privés sont peu nombreux quoique souvent fidèles . En conséquence il n’y a pas de marché local , il n’y a ici que des coups de cœur ou des coups d’amour . On ne peut en vivre matériellement, mais on en vit affectivement assez bien ! Enfin , la nécessité où sont la plus part d’entre eux d’avoir eu , ou d’avoir encore , un autre métier pour vivre les ont souvent Inscrits profondément dans la vie sociale. On les retrouvera donc aisément dans des activités associatives , culturelles , où leur « vrai « métier sert alors des activités citoyennes d’enseignement , d’initiation à l’art contemporain et /ou aux développement des personnes . C’est là le prix ou le troc de leur insertion réussie auprès des fontaines et ce qui en retour leur garantit une authenticité rare . Ce sont ces vies , ces engagements d’artistes « en région », d’hommes et de femmes que les portraits de cette série ont l’ambition de vous faire connaître . Daniel Bégard .Écrivain et critique d’art . . .

Festival des Identi’terres

7ème festival des Identi’terres Parc naturel régional de la Narbonnaise en Mediterrannée. iphone 8 plus protective case pink Territoires réels, imaginaires, rêvés 3-12 octobre 2008 English The ‘parc naturel’ at Narbonne with it’s a large expanded lagoons, home to flamingos and a vast population of birds, situated in the beautifully wild region of the Corbières-Maritimes, represents one of the last preserved natural locations on the Mediterranean coast. This is the seventh year that the park organized their festival “The Identi’ terres”. iphone 7 plus dual layer case All artistic disciplines, visual, dance, poetry, theatre, concerts and conferences were covered, which communicate the idea and ethos of the territory, either in reality, imagined or dreamed. Many artists today are interested in the problem of identity. What does it mean to be ‘rooted’ within an area, in today’s time of Europe and Globalization? The Curator Marion Thiba does not just praise the original, the past or the motherland but is interested in the idea of roots which can develop only through contact. During the 10 day festival, the artists question themselves about the contemplative, hidden solidarity they have towards this territory. Here a view of the Identi’ terres with comments, pictures and music: deutsch Das Gebiet des ‘parc naturel’ repräsentiert mit seinem ausgedehnten Lagunenkomplex mit Flamingos und vielfältiger Vogelbevölkerung, situiert in den wunderschön wilden Corbières – Maritimes, eines der letzten grossen bewahrten, natürlichen Geländes der Mittelmeerküste. Zum siebten Mal organisierte der Park das Festival ‘des Identi’terres’. Alle Disziplinen der Kunst: visuelle, Tanz, Poesie, Theater, Konzerte und auch Konferenzen wurden gezeigt und gehalten, welche sich von nah und von fern mit der Idee des Territoriums auseinandersetzen, sei es auf reelle, erfinderische oder träumerische Weise. iphone 8 diamond case Viele Künstler sind heute an der Identitätsproblematik interessiert. Was heisst ‘verwurzelt’ sein mit einem Gebiet in der heutigen Zeit Europas und der Mondalisation . Die Kuratorin Marion Thiba rühmt nicht nur das Ursprüngliche, die Vergangenheit oder das Mutterland sondern ist an der Idee einer Verwurzelung, die sich durch Kontakt entwickeln kann, interessiert. moko case iphone 7 Die Frage nach der inneren, verborgenen Verbundenheit mit diesem Territorium stellten sich der Naturpark und die Künstler während den 10 Tagen des Festivals. world map iphone 6 case meanwhile in Miami A cultural documentary about street performers on Lincoln road (most famous street of Miami beach) who were recently banned from performing on this cultural center of South Florida after City Of Miami Beach passed street performers and art vendors ordinance which violates the First Amendment of US Constitution.