1 février – 13 may 2012 David Shrigley: Brain Activity, couvre la gamme complète de la pratique diversifiée de David Shrigley des deux dernières décennies de la carrière de l’artiste, y compris dessin, animation, peinture, photographie, taxidermie et sculpture. . design iphone x case . David Shrigley est surtout connu pour ses dessins et animations humoristiques qui font des observations plein d’esprit et ironique sur des sujets sociaux et familiers et des situations quotidiennes. . Délibérément amateurs et bruts, ils ont un appel immédiat et accessible, tout en offrant des commentaires perspicaces sur les absurdités de la vie, la mort et tout ce qui est entre. . Depuis avoir été diplomé à la Glasgow School of Art en 1991, Shrigley a produit plus de 7000 œuvres sur papier qui explorent tout, du banal au sublime par texte et image. apple smart battery case for iphone 6 6s . . strong case iphone 7 plus . Les sculptures de Shrigley sont caractérisés par leur échelle bizarre, qui prête une inquiétante étrangeté aux œuvres. Elles varient de petites sculptures fabriqué à main, faites de matériaux insolites, à des séries plus importantes et des installations. french bulldog phone case iphone 7 . .
LES LOCATAIRES – L’isba accueille Jacques MONORY et Alain LAPIERRE
Du 25 mai et jusqu’au 13 juillet 2012, L’isba accueille Jacques MONORY et Alain LAPIERRE, réunis pour une nouvelle exposition : LES LOCATAIRES. zover iphone 8 case Jacques Monory est une figure incontournable de l’histoire de la peinture récente. iphone 8 travel case Membre fondateur du mouvement de la Figuration Narrative dans le milieu des années 60, Jacques Monory en devient l’un des principaux représentants aux côtés de Rancillac, Klasen, Erro ou Adami… Il affirme rapidement un style singulier, définitivement engagé dans la représentation qu’il continue d’explorer depuis plus de 50 ans d’une carrière internationale. Alain Lapierre entretient une pratique singulière et hybride avec le dessin à travers laquelle il cherche à préciser ce qu’est pour lui la surface (papier ou écran) qui l’accueille. Cet espace «où tout peut s’envisager, se rejouer, se projeter» : du trait le plus lâché à la minutie la plus obsessionnelle. iphone 8 case walking dead Dessins au trait traditionnel, dessins informatiques, dessins animés. iphone 7 phone cases spigen glitter Ré-interprétation permanente du dessin, qui se construit par la juxtaposition de motifs, dans l’accumulation de couches, les saturations, les repentirs … reprises incessantes jusqu’à ce que, parfois, le support marque l’arrêt. Projections : Dans le cadre de l’exposition, un partenariat a été mis en place avec l’espace LICENCE III qui projettera une sélection de films d’animations réalisés par Alain Lapierre. La galerie L’Isba est ouverte du jeudi au samedi et sur rendez-vous, de 14h à 19h.
Sylvie Romieu : naturel, et évidences
Sylvie Romieu : « Gracias « à la Chapelle Saint-Joseph. Fitou. 6 case iphone hard jusqu’au 17. Juin . On connaît trop peu la Chapelle St Joseph à Fitou, haute perchée et d’une belle simplicité naturelle, dont la programmation culturelle est toujours de qualité . iphone 8 cases camo Sylvie Romieu a choisi, d’y montrer en ce début de saison une trentaine de petits sujets, tous dédiés à une sorte de recherche de l’épure de la forme, et du trait comme un repos ou un ressourcement après les « sculptures photographiques « qu’elle vient d’exposer avec succès à Turin. Mais comme le relève Claudio Isgro dans une présentation de ce travail, elle inscrit encore ces petits formats, aux techniques différentes dans la continuité du médium photo. iphone 6 plus floral case Elle montre ainsi, et pourquoi, le trait, la forme pleine ou en creux , que la photographie énonce, non seulement fait passage vers l’épure de l’image, mais s’y intègre ou s’y dissous . iphone 6 phone case ariana grande Elle le fait en partant de formes simples, récurrentes dans sa création ( une maison , un arbre , une silhouette) s’en saisissant, les déclinant , les creusant par un processus qui tout en restant photographique, les conduit à des blancheurs, calmes, douces, un apaisement qui tout au long du parcours, quasi initiatique, qu’elle a organisé dans la chapelle nous fait guetteur de leurs mutations et de leurs survies. C’est simple évident et beau.
Doris Schläepfer : Suspicions ou du mystère des ombres
Doris Schläepfer : « Suspicions » ou du mystère des ombres . iphone 7 case ted Atelier Burlumi 1 place du marché 11800 Trèbes du 23 mai au 10 juin 2012 À l’Atelier Burlumi de Trèbes , Doris Schläepfer aura proposé au début juin et avant de les montrer à Londres ses « Suspicions’ . Malgré ce titre, il n’y avait là rien de suspect , ni raison de se méfier car elle y exposait en une vingtaine d’oeuvres de formats et supports différents (encres, acryliques sur papier , carton, bois) un passionnant état des lieux et aussi un rapport d’étape. Celui de ce travail qu’elle poursuit avec bonheur, cherchant à percer le mystère des ombres et celui de cette contradiction qui les fait vivre à nos yeux par leurs mystères et leurs beautés tout en troublant , fut-ce inconsciemment, notre raison. Car ces ombres en effet ont une vie aux couleurs infinies (‘‘Die farbigen Schatten ‘’ selon Goethe) et changeantes. La question de l’ombre , de sa nature, de son sens traverse, on le sait l’histoire de la représentation depuis Platon. iphone 7 plus phone cases with screen protector L’approche originale de Doris Schlaëpfer c’est de s’en tenir à la nature de l’ombre , à sa vie , ses mutations colorées ; de la tracer, la commenter , l’annoter ,la restituer, ,à partir de ce que le regard et l’attention peuvent saisir des ombrages d’un feuillage ,d’une orchidée , d’une tulipe ,ou d’une rose .Ces herbiers des imaginaires, par une traque douce et vigilante , nous valent de vertigineux jeux de couleurs ,de traits , mêlant formes communes et abstractions. iphone 7 phone cases tozo Et que ce soit dit avec des fleurs ne fait qu’aviver les ombres qui, pour chacun de nous, persistent du fond de nos cavernes oubliées ! Daniel Bégard On retrouvera les œuvres exposées dans le site de l’artiste : www.dorisschlaepfer.com Voleur Avant la connaissance du Bien et du Mal, avant l’aube de moralité ou d’empathie existait Lilith, la première femme d’Adam.. Elle était capable de se transformer en creature maléfique ou en esprit diabolique. Elle apparut à Eve comme un serpent, et depuis ce temps – là elle existe en toute femme et (homme) mais elle ne se rélève que rarement, hormis chez l’artiste ou le criminel. Comme Lilith le voleur obéit aux instincts primitives, tel l’aigle fixant sa proie ou le goéland piquant sur le poisson. A pas feutrés le voleur glisse et empoigne son butin, au meme instant la rose est séparée de son ombre qui doucement s’effiloche surprenant la courbe vide et blanche du vase. Le voleur ne coopère pas. Il désire. L’action de dérober est plus importante que la rose elle – même. iphone 7 case liverpool L’art de Doris Schläpfer appartient à ce moment archaïque ou la déchirure entre la nuit et la lumière est encore fraîche et boulversante. Ces regions ne sont accessibles que par les chamans, les artistes (parfois) ou les voleurs. iphone 7 phone cases panda Bien entendu cet art n’est pas “ peinture” dans la manière traditionelle puisque chez Doris la connexion entre mouvement du pinceau et réponse du support n’existe pas. Doris peint sur du contreplaqué enduit de gesso. L’image n’est pas absorbée par le support. Les marques sont fluides. Un mouvement libre traverse la surface ou la profondeur du noir reste sans épaisseur. L’encre liquide coule jusqu’à l’arrêt du geste de l’artiste. La nature conceptuelle du travail de Doris est paradoxalement instinctive, mais un instinct subtilement contrôlé par l’intuition et l’imagination.. Avec une concentration ciblée le voleur vient d’accomplir son méfait, lui et la rose ne font plus qu’un.. Le tableau en est le témoin.
« Indian Gaze » Anju Chaudhuri & l’Art tribal indien d’aujourd’hui
Exposition du 13 avril au 3 juin 2012 Spiritualité et Nature dans l’art contemporain indien célébreront la nouvelle exposition de printemps au L.A.C. L.A.C. Lieu d’Art Contemporain HAMEAU DU LAC 11130 SIGEAN Sur une proposition de l’artiste Nitin Shroff, commissaire d’exposition invité, les peintures narratives et texturées de l’artiste Bengale Anju Chaudhuri, mêlant tradition occidentale et mythologie Indoue, côtoient les oeuvres d’artistes contemporains de l’art tribal indien reconnus internationalement ; Venkat Raman Singh Shyam – Arvind Ghosalkar – Ramesh Hengani – Saroj Rathod – Gurupada Chitrakar. iphone 7 finger case Ces artistes s’emploient à perdurer les gestes représentatifs des tribus ancestrales indienne : Madhubani / Mithila – Gond – Warli – Patua / Chitrakar. mobile cases for iphone 6 Anju Chaudhuri Pour la peinture d’Anju c’est toujours le premier matin du monde car tout commence par cet éblouissement, par ce moment où le regard s’affole de tout ce qu’il voit et qu’il ne peut décrire. La peinture consiste justement en cela : à appréhender, à saisir toutes ces formes, toutes ces couleurs, toutes ces lumières mouvantes, autrement dit à tenter d’ordonner en un tout ce chaos de sensations, d’impressions, d’idées. C’est pourquoi sans avoir participé aux débats théoriques Support Surface à Paris puisque dans les années 70 elle suivait les cours de Gualian Ayres à la Saint Martins School à Londres, elle a travaillé très vite sur des toiles ou des papiers libres – qu’elle maroufle ou non par la suite – et toujours hors des données habituelles du cadre et même sur des formats très différents qui vont du grand au presque minuscule où le sujet est comme lové et qu’il faut donc aller chercher. En contemplant ce monde si ouvert, si perméable, ouvert sur toutes les directions on pourrait évoquer une influence de la peinture All Over américaine (elle aime Sam Francis, Joan Mitchell) mais ne se réfèrerait-elle pas plutôt à cette tradition si vivante encore de la pensée indienne qui veut que tout soit lié, uni, que rien ne commence, ni ne finisse jamais. Pendant longtemps il y a eu comme un trop plein, avec un espace dense, saturé, multipolaire : pas de chemin tracé à l’avance, seulement les méandres et les hasards de la création. On est dedans, dans la durée toute entière du geste de la peinture. Il faut d’abord, avant de voir, accepter de se laisser envahir par tout ce cosmos végétal. Anju vient en effet d’un pays, le Bengale, où la nature est luxuriante et c’est ce désir d’immersion totale dans ses profondeurs – elle travaille toujours à plat sur le sol – qu’elle veut exprimer. Tout se cache et tout réapparaît à des moments furtifs entre l’ombre et la lumière : ici on devine un petit temple dissimulé à l’orée d’une forêt comme il y a en tant en Inde, ici une brassée de feuilles, ici une rivière qui coule, ici une fleure brille dans l’obscurité. Comme chez Tagore, la Nature est la grande inspiratrice puisque nous les humains aimerions tant pouvoir vivre à l’unisson, nous régénérer dans son mouvement perpétuel. Anju ne dit-elle pas que la peinture, pour elle, est le sein. Elle ne dessine pas car le dessin est séparation : c’est l’accord très calculé des couleurs, souvent rares, qui guide et construit l’espace de l’œuvre. iphone 6 case greatest showman Elle mélange tout, les formes semblant naître d’elle-même, il faut contrôler un minimum, laisser agir les pinceaux – chacun a son histoire et il y en a toutes sortes – la main, parfois le corps tout entier avec ses gestes furieux ou tendres qui se contredisent, luttent les uns avec les autres. Tout est en métamorphose mais aboutit cependant toujours à une harmonie lumineuse. Aucun outil n’est privilégié : un chiffon créera une tache, des faisceaux de branchages balaieront le papier ou la toile, feront gicler la couleur, des empreintes diverses secrèteront d’autres formes pas toujours identifiables, on aperçoit même des traces de peigne qui font vibrer la surface autrement. C’est cela la vie de la peinture, son pouvoir toujours renouvelé. Anju fabrique aussi de ses mains de petits livres précieux et uniques, pratiques aussi beaucoup le monotypes et la gravure – qu’elle a apprise avec deux grands maîtres Hayter et Krishna Reddy – car elle aime avant tout le papier souple, ductile et les reprises de l’impression. Ces dernières années il semble qu’elle ait besoin d’un espace neutre, blanc, pur, à peine quelques plis du papier ou de la toile pour démarrer : elle ne remplit plus la surface elle a tendance au contraire à la vider, pour laisser fuir la couleur vers les bords et montrer un espace infini. Les couleurs jaillissent dans l’air, en pure liberté, en pure volupté – même si la gamme paraît inhabituelle à nos yeux d’occidentaux – les rouges fusent, les bleus sont d’une intensité irréelle, le jaune et le carmine s’accordent toujours, créant une musique légère, douce et vive à la fois. Peut-être peut-on y voir une sérénité, un abandon au flux des événements : « Tu laisse couler, tu vis avec, tu contrôle ou pas … Tout est recyclable en Inde même ton corps qui devient âme. » dit Anju. iphone 7 plus case baby pink Claude Schweisguth L’art tribal contemporain indien L’art tribal contemporain indien explore la diversité des styles et des techniques de l’art tribal indien, nommées : Madhubani / Mithila – Gond – Warli – Patua / Chitrakar, dont le travail retrace des siècles de culture indienne. Bien que les artistes du folklore indien ont pratiqué l’art tribal durant des siècles, ce n’est que depuis ces cinquante dernières années qu’ils jouissent d’une reconnaissance internationale en tant qu’artiste. De l’artisanat, leurs créations furent ainsi considérées comme art à part entière. Initialement propre à l’univers de l’artisanat habituellement pratiqué par les femmes, la visibilité internationale de l’art tribal indien fût la conséquence de la terrible crise économique qui frappa l’Inde dans les années 1966–1968. Afin de créer de nouvelles ressources non agricoles, la All-India Handicrafts Board (ancienne fondation de conseil sur l’artisanat Indien, crée en 1952, pour conseiller le gouvernement sur les problèmes liés à l’artisanat et proposer des mesures d’amélioration et de développement) a encouragé les artistes femmes à développer leurs pratiques artistiques sur support papier à des fins commerciales. Ce fût une véritable renaissance pour cet art qui révéla au monde la richesse du folklore et l’art tribal Indien et fût exposé dans de grande galerie du monde entier. Cette exposition explorera un travail narratif, reflet d’un monde en mutation qui invite le visiteur au voyage et à l’échange, dressant un pont entre les cultures occidentale et orientale de la tradition passé à la création contemporaine actuel.
Art, migrations, mondialisation | Cité nationale de l’histoire de l’immigration
Célèste Boursier-Mougenot – Galerie Iconoscope Montpellier
du 8 avril au 2 juillet 2011 1 rue du général maureilhan & 25 rue faubourg du courreau 34000 Montpellier Iconoscope Célèste Boursier-Mougenot from hear to ear (v.14) La galerie Iconoscope présente une installation de Céleste Boursier-Mougenot, intitulée from here to ear. La galerie est devenue une volière où les oiseaux quittent un assemblage de nids pour venir se poser sur les cordes des guitares électriques, posées sur des trépieds et reliées à des amplificateurs. manna iphone 8 plus cases and covers Dans l’espace restreint de la galerie, les spectateurs marchent sur un espace blanc, sorte d’ilôt central ou de petite lagune, et contemplent un paysage sonore et visuel étonnant, ces multiples perchoirs installés dans le sable, où les mangeoires, posées au sol, sont des cymbales qui tiendraient lieu de mares. iphone 8 plus case with kickstand L’artiste a au préalable régler les accords des instruments que les oiseaux vont venir moduler en se posant sur les cordes. Emergent une partition sonore, un opéra que composent conjointement l’artiste, les oiseaux et les mouvements du spectateur. patterned phone case iphone 7 plus La musique montre son processus et se fait dès lors vivante, pour un spectateur qui contemple des sons devenus matières chez Céleste Boursier Mougenot, une matière plastique que l’artiste développe en rapport avec le lieu d’exposition. iphone 8 plus battery case Ici, l’espace est réduit, il ne peut accueillir que quelques visiteurs mais c’est avec cette réduction que l’artiste travaille en installant un paysage, une déambulation et une mise en scène de l’écoute. Règne une étonnante harmonie qui n’est jamais lisse, qui se construit avec les larsens, les chants des oiseaux, le bruit de leurs vols et le pas des spectateurs. L’artiste cherche alors à proposer une expérience synesthésique entre dispositif précis et hasard de la performance. From here to ear est une variation, ce dispositif avait été déjà montré à la galerie Xippas ou aux Halles de Nantes..Mais cette répétition est toujours différence chez Céleste Boursier-Mougenot, qui se sert du passé pour construire un autre présent, en modifiant les trajets du spectateur, les accords et les sensations. From here to ear conduit le spectateur à éprouver le son qui résonne dans ses yeux et dans son corps, dans ce désir de tendre à une réunion entre le corps, le langage et le monde. Eprouver le monde, faire de son imaginaire le lieu d’une partition à réécrire sans cesse….
Twombly and poussin: Arcadian Painters
Dulwich Picture Gallery is proud to announce a revelatory exhibition of the work of Cy Twombly and Nicolas Poussin. Organised to celebrate the Bicentenary of the Gallery, this major show will explore, for the first time, the unexpected yet numerous parallels and affi nities between the two painters. The exhibition will draw upon the world-class permanent collection of works at Dulwich Picture Gallery by Nicolas Poussin, alongside other works from major collections around the world by both Poussin and Twombly. In 1624 and 1957, the two artists, aged around thirty, moved to Rome. Nicolas Poussin (1594 – 1665) and Cy Twombly (1928 – 2011) subsequently spent the majority of their lives in the Eternal City, and went on to become the pre-eminent painters of their day. sena iphone 7 leather case Rather than recent exhibitions that have sought to compare and contrast old masters with contemporary artists through surface visual appearances, this groundbreaking show will instead juxtapose works which may seem radically disparate in terms of style, yet ones that share deep and timeless interests. Both Poussin and Twombly were artists of prodigious talent who found in the classical heritage of Rome a life-long subject. Both spent their lives studying, revivifying and making newly relevant for their own eras antiquity, ancient history, classical mythology, Renaissance painting, poetry and the imaginary, idealised realm of Arcadia. iphone 6 case crocodile Curated by Dr. Nicholas Cullinan, Curator of International Modern Art at Tate Modern, the exhibition examines how Twombly and Poussin, although separated by three centuries, nonetheless engaged with the same sources and will explore the overlapping subjects that the two artists have shared. pink phone cases iphone 7 plus It will consist of around thirty carefully – chosen paintings, drawings and sculptures, structured thematically around six sections devoted to key shared themes, from both artists’ early fascinations with Arcadia and the pastoral when they fi rst moved to Rome, Anxiety and Theatricality, Venus and Eros, Apollo, Parnassus and Poetry, Pan and the Bacchanalia, through to the theme of The Four Seasons. The exhibition will be accompanied by the British premiere of Tacita Dean’s new 16mm film portrait of Cy Twombly, Edwin Parker (2011). The film documents Twombly in his studio in Lexington, Virginia, and follows on from Dean’s series of fi lmed depictions of subjects such as the choreographer Merce Cunningham, the poet Michael Hamburger and the artist Mario Merz, where the inner life of the sitter is implied through their physical demeanour and surroundings. A series of talks will also accompany the exhibition, including Sir Nicholas Serota, Director of Tate, in conversation with Dr. iphone 7 case gold leaf Nicholas Cullinan on the topic of curating Twombly, and Malcolm Bull (Ruskin School of Drawing, University of Oxford) and T. J. Clark (Professor Emeritus of Modern Art at the University of California, Berkeley; and Visiting Professor, University of York) who will discuss the work of Poussin and Twombly and the themes raised by the exhibition. Ian Dejardin, Director of Dulwich Picture Gallery explains that the exhibition “fits in with a philosophy I have pursued here – that exhibitions can conduct a dialogue with the permanent collection. In the past Howard Hodgkin, Lucian Freud and Paula Rego have all hung their paintings within the collection, so Poussin and Twombly seemed like a natural extension of those experiments”. Dr. Nicholas Cullinan, curator Twombly and Poussin: Arcadian Painters says: “I hope the exhibition will prove to be a feast for the eyes as well as the mind. Through it, we are invited to think through how meaning and subject – matter can be conveyed by abstraction as opposed to fi guration, and how these two painters have reinvented timeless themes in strikingly divergent modes.” The exhibition has received enthusiastic support and loans from major private and public collections around theworld, including The National Gallery and Tate in London; The Royal Collection, Windsor; The Duke of Devonshire; The Fitzwilliam Museum, Cambridge; Museo del Prado, Madrid; The Brandhorst Museum, Munich and The Art Institute of Chicago. The exhibition has been developed in close collaboration with Cy Twombly himself, and will include works that have never been exhibited before. In conjunction with the exhibition, Dulwich Picture Gallery will be showing the fi ve remaining paintings from Nicolas Poussin’s (1594 – 1665) fi rst series of the Seven Sacraments: Confi rmation, the Eucharist, Extreme Unction, Ordination and Marriage, painted between 1637 and 1642. iphone 8 case spigwn This rare display of Poussin’s Sacraments also provides an occasion to consider two very special religious paintings by Poussin from Dulwich’s permanent collection: The Translation of Saint Rita of Cascia and The Return of the Holy Family from Egypt. These will be hung alongside Poussin’s masterpieces of religious painting – the fi rst set of Sacraments for Cassiano del Pozzo, which have been generously lent by the Duke of Rutland’s Trustees, Belvoir Castle, Grantham.
Patrick Sauze/Doris Schlaepfer – Maison des Arts Bages
écrans/screens exposition du 11 février au 20 mars 2011 du mercredi au dimanche de 14H à 19H ainsi que les jours fériés Maison des Arts 8 rue des Remparts 11100 Bages tel: 04 68 42 81 76 Patrick Sauze
- « Imagination morte – imagine» Samuel Becket
Pour les artistes comme Donald Judd, Sol Lewitt ou Elsworth Kelly le travail commence toujours à partir du visible et du tactile. see through phone case iphone 6 Ce processus est qualifié par les historiens d’art et certains critiques de « minimaliste », même si le terme de « minimalisme » n’a jamais été accepté par les artistes eux-mêmes, car l’élégance et l’essence de leurs œuvres semblent transcender le monde matériel. Les tableaux de Patrick Sauze sont en opposition fondamentale à cette pratique ; conceptuels plutôt que minimalistes ils sont issus d’une profonde pensée méditative avec une conscience aigüe de l’immatérialité de l’existence dont le vide abyssal subsiste toujours dans notre inconscient. Dans l’enfance on a joué à avancer sur des pavés tout en évitant de poser les pieds sur les joints ; c’est au moment où le pied est en l’air qu’il faut viser l’autre pave pour être « sauf » . Superstition ?… ou intuition du danger de l’inconnu ?… Patrick Sauze a osé mettre son pied sur le joint et il est passé à travers. Son œuvre commence dans le vide et fait émerger quelque chose qui n’a aucune racine dans ce monde. Avec des moyens exceptionnellement économiques les tableaux matérialisent des formes inusitées mais hypnotiques. C’est une formidable réussite de les avoir fait avec tant de clarté, de délicatesse et de précision. Ils arrivent à créer un espace dans nos têtes comme s’ils étaient la manifestation concrète du « Nagual ». watch film of the exhibition with commentary in english . . . Doris Schläpfer
- “ In a cowslips bell I lie there I crouch when owls do fly “ from Ariels Song, The Tempest. W. Shakespeare
Les tournesols n’ont pas de couleur sauf le gris foncé qui semble presque noir et qui est fait de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Malgré l’intensité de gris nous sommes conscients d’une lumière intérieurs. La révolution du soleil révèle le temps qui passe et l’ombre obéit toujours. Nous n’avons pas un point de vue conventionnel du tournesol, c’est comme si la fleur était avalée par son proper mouvement, et nous ne pouvons que deviner où elle s’est cachée elle-même. Ce point de vue étrange et surprenant nous confond et nous destabilise par rapport à une représentation traditionelle ; le spectateur ne peut que sentir le tournesol dans l’ombre. Quand le célèbre compositeur John Cage fait de son experience « 4 minutes 33 secondes » l’auditoire écoute le silence. Mais un vrai silence est impossible en présence d’êtres humains. ted baler phone case iphone 7 Cette performance silencieuse est troublée par des sons parasites ( trépignement, toux, chants d’oiseaux, et bruits sourds de la rue ) mais aussi par les bruits internes du corps humain ( battement de cœur, respiration…). iphone 7 phone cases builder Les tournesols de Doris se meuvent dans un monde de silence profond. Elles existent dans une dimension sans espace, ni volume, ni son, ni parfum. Elles ne sont que des ombres tributaries de la position du soleil. Dans cette série Doris expérimente l’extension de l’ombre vers la lumière en laissant l’encre aux couleurs fades et délicates émerger du fond du papier. C’est comme la « couleur magique » révélée par de l’eau sur les pages blanches des livres de coloriages de notre enfance. Ces dessins trouvent certainement une part de leurs racines dans les aquarelles de Joseph Beuys, bien qu’ici la qualité en soit plus informelle, plus « émergente » . Ainsi ils font partie intégrante de sa préoccupation pour l’immatérialité de l’ombre et sa dépendance à l’objet et au soleil. Dans l’ enfance nous sommes convaincus qu’une ombre est aussi réelle que n’importe qu’ elle autre présence dans le monde. butterfly iphone 6 case Cette capacité d’ acceptation et d’émerveillement s’éteint souvent a l’âge adulte, mais pourfois l’artiste peut la faire revivre.
Au cœur du LAC : Geer Van Velde
Pour les passants de l’été, ou les habitués du LAC, s’engager à l’étage revient à découvrir ou retrouver le sens de ce lieu . Dans le vaste espace disponible s’expose, toujours par quelques œuvres importantes de la collection de Piet et Layla Moget, ce qui fait le sens de leur passion et la ligne rigoureuse qui nourrit les choix qu’ils font des expositions temporaires . Sur ce même niveau, en son extrémité, s’ouvre sur la gauche un espace plus réduit repérable souvent par un accrochage du propre travail de Piet Moget . C’est là que s’offre la possibilité d’une approche plus intime du peintre et du collectionneur . De fait, outre que l’on y retrouvera de belles œuvres de son épouse Mary Schallenberg, l’on ressentira confusément que ce qui est montré, souvent de petits formats, prend un sens particulier . iphone 6 gaming case red Leurs rapports, à l’homme et à l’artiste , sont en effet bien au-delà de ce qui lie un homme à une collection, ou à l’histoire de l’art . temdan iphone 6 case On le vérifiera particulièrement cette année . Cet espace d’intimité comprenant lui-même une sorte d’annexe, ménagée dans la grande cuve de l’ancien domaine viticole . Autant dire le cœur du cœur de ce projet assez fou de penser faire vivre à Sigean entre vigne et étangs une collection d’art contemporain . Et ce cœur du cœur a un nom : Geer Van Velde . Piet Moget a souvent raconté sa rencontre avec ce peintre néerlandais l’un des créateurs décisifs de son temps . C’est à la fin des années 40 du siècle dernier que Piet découvre « Méditerranée , « tableau clé dans l’œuvre de Geer Van Velde , et n’aura alors de cesse que d’en rencontrer son auteur , ce qui se fera quelques années plus tard . De cela naîtra une amitié et une estime réciproques dont va témoigner ce cœur du LAC ! . . animal iphone 8 plus case . Entre l’aîné et le cadet, le courant passera . Pourquoi ? « parce que c’était lui et que c’était l’autre probablement ! « .Mais aussi sûrement par ce qu’ils se sont reconnus dans une fraternité, celle de la lumière et de ses effets, tels qu’ils se ressentent et se vivent en regard d’un horizon « pur », marin, où tout est question de lignes et de géométries simples . Pour Geer Van Velde , la lumière ne pousse pas à exacerber les couleurs et les formes, même et surtout en Méditerranée ! , mais à en faire l’outil, ou l’imaginaire, qui découpe, dégage , les formes pures , les espaces essentiels , ordonne le plein et le vide , la mer et le ciel . Le pertinent critique d’art , Gaétan Picon (1) décrira parfaitement de qui fait la singularité et l’apport de Geer Van Velde : « La neutralité du rien, néant de la lumière , paraît à travers un sensible qu’il tend à unifier sans détruire « . Là se situe en effet l’une des propositions importantes de Geer Van Velde qui est à l’œuvre dès cette « Méditerranée « qui passionnera Piet Moget. Geer Van Velde et Piet Moget entretiendront au cours des années suivantes, un regard critique, réciproque, sur leurs travaux .Comme Piet Moget l’avouait en riant lors d’un entretien (2) ce commerce pouvait être tendu car précisait-il « on n’était pas si tendres, lui voulait que je mette des verticales dans mes tableaux , et lui voulait que j’enlève des lignes » . Telle qu’elle, l’anecdote paraît poser une opposition radicale ! Mais on peut aussi bien la prendre pour une « private joke « entre deux hommes partageant un même univers et une même nécessité . Ils se posent en effet et en quelque sorte tous deux, la même question qui est celle du dépassement des structures naturelles et simples qui s’offrent au regard , si l’on met son « atelier à la mer « soit sous la neutralité de la lumière, l’imperceptible ligne d’ombre de l’horizon marin , d’un bout de quai , d’un trait d’algues sur une plage .En fait cette question avait été posée , à sa façon et pour lui-même , par un autre Néerlandais auquel chacun d’eux d’ailleurs se réfère , Piet Mondrian , qui en tira le principe d’un passage de ces linéaires naturels à un linéaire abstrait qui guidera son œuvre ultérieure .(3) . . . . . . . . . . . marble effect iphone 8 plus case . . . . . Ni Van Velde ni Moget n’étant des suiveurs, on ne pouvait s’attendre à les voir s’engager sur les pas d’un maître ni qu’ils s’influencent de quelque manière que ce soit . D’où viendra alors qu’une si longue connivence se soit perpétuée entre un artiste , l’aîné, dont l’œuvre avait atteint sa pleine notoriété , et son cadet dont le travail commençait d’être reconnu .Il faut probablement pour cela revenir aux chevalets et aux endroits où on les pose, à la discipline ou aux enjeux que cela implique . Geer Van Velde en effet a parlé à ce propos de « bagarre « de l’idée qui surgit et de sa reprise incessante « une toile n’est jamais finie .Si elle l’est alors elle ne vous appartient plus « (4) mais ce faire , cette douleur aussi , doivent être neutralisées et ne peuvent paraître . Et Piet Moget dira de ces moment-là ,dans une confidence à Germain Viatte : Tout geste devrait être juste , mais cela n’arrive pas souvent .Il faut beaucoup de travail pour maîtriser ces éléments « ce qui paraît bien être comme l’écho du constat qu’évoque Geer Van Velde : « Pour autant il est évident que pour des démarches si semblables leurs œuvres peuvent paraître s’écarter . Écart il y a probablement , mais il n’effacera pas pour autant ce qui les lie le plus intimement , cette posture du faire face dont Germain Viatte , commentateur avisé des deux artistes, dira à propos du travail de Piet Moget mais qui vaut ici pour deux qu’elle nous invite à une lente saisie peuplée d’émotions vives (…) et qui tout à coup propose un juste moment suspendu apparemment immuable dans son éclat , son bonheur ou son inquiétude ‘‘(5) . . C’est cela d’abord que Geer Van Velde au coeur du LAC nous rappelle ..C’est aussi une belle occasion de retrouver ou de découvrir en quelques œuvres judicieusement choisies une œuvre importante , et une aventure rare de l’art contemporain .On se souviendra enfin qu’il était bien naturel que la première grande exposition d’été au LAC ait été consacrée, il y a vingt ans …à Geer Van Velde . Daniel Bégard . Août 2011 Notes 1 Gaétan Picon « Geer Van Velde « Catalogue 2 Entretien avec Véronique et Dominique Marin in « Piet Moget »catalogue exposition P.Moget LAC . 2008 3 Suzanne Deicher . »Mondrian » Taschen Editeur.1994 4-5 Germain Viatte « Piet Moget . Calalogue Galerie Louis carré & Cie 2001 L.A.C.