Alicia Paz – Casanova Forever – L.A.C. Narbonne 2010

june 27 to september 26 2010 The paintings are surcharged with art historical references, the tree seems to symbolize the proliferation of encumbrances. From old Masters to popular art, the artist shows us images of women, shaped by models of how to seem to be. Apparitions from mythology juxtaposes photographs of faces. caseology iphone 7 case Superwomen and old hags, astronauts and temptresses are weaving through a witches brew of paint. These wondering souls are playing Casanova’s game looking for a way out of there encastration. Nevertheless, immobilized in the glowing headlights of the present, caught in the branches of the tree of destiny, their enlightenment will never materialize. An allegory perhaps of our contemporary ecological and spiritual impasse. stitch iphone 8 plus case This sensitive and talented artist is still very young. I will be interested in work that she will show us in the future. iphone 6 case gorls Kathleen Burlumi en français: Les peintures sont surchargés avec des références historiques et artistiques, l’arbre semble symboliser la prolifération des encombrements. ballet phone case iphone 6 Des maîtres anciens à l’art populaire, l’artiste nous montre des images de femmes, façonnés par des modèles de comment être au monde. Des apparitions de la mythologie juxtaposent des photographies de visages . Superwomen et vieilles taupes, astronautes et tentatrices tissent à travers un breuvage de peinture de sorcières. Ces âmes errantes jouent le jeu de Casanova à la recherche d’un moyen de sortir de leur encastration. Néanmoins, immobilisé dans les phares lumineux du présent, pris dans les branches de l’arbre de la destinée, leur éclaircissement ne se matérialisera jamais. C’est peut-être une allégorie de notre impasse écologique et spirituelle contemporaine. Cet artiste sensible et talentueux est encore très jeune. moshi case iphone 6 plus Je serai intéressé par les travaux qu’elle va nous montrer à l’avenir.

NO FOCUS today

ÇA SE PASSE PRÈS DE CHEZ VOUS 10-04 IT’S HAPPENING NEAR YOU / TÉ LLOC A PROP DE CASA de Sophie Phéline NO FOCUS today, instead of no milk today (comme dans la fameuse chanson d’après la guerre d’Algérie). Mais dans ma chansonnette de ce jeudi, ce n’est pas cause de pénurie… Ce serait l’inverse : l’embarras du choix. Ah, la question de choix ! Ça me rappelle lorsque j’accompagnais dans ses dérives un dinosaure aujourd’hui disparu, Richard Baquié. La nuit nous roulions sur la corniche vers l’Estaque, je conduisais, il dessinait, il faisait des projets, nous étions un peu ivres. messi iphone 8 case Nous parlions toute la nuit, sans but et d’un coup, il disait : « Tu dois choisir, tu roules à droite ou à gauche… mais tu choisis. Tu choisis. Les artistes passent leur temps à choisir. » Cette petite phrase en a fait de bien plus longues imaginez vous depuis le temps ! Alors, ce soir, mais en faisant court, donc sous forme de brèves voici ce que j’ai choisi de partager : 1- la gueule superbement déglingue d’Eddy Mitchell sur les colonnes Morris, 2- le striptease de la Tour Eiffel dans le ciel outrageusement poudré de Paris, un petit matin lorsque je vais me coucher, 3- ce couple enlacé dans les allées du Grand Palais qui tente de tordre le cou à des souvenirs qu’ils voudraient oublier et qui n’attendent pas Christian Boltanski pour surgir au détour de leurs regards échangés, 4- la coïncidence des images entre les façades d’Yves Belorger, les containers d’une écrivaine – photographe, des accumulations de palettes le long de l’autoroute et les tableaux d’Edi Hela dont j’ai déjà parlé, 5- les banalités qui s’échangent les soirs de vernissage et l’indifférence à tout ce cirque dans les ateliers de Marc, de Marlène, de Jacques, de Michaël Woolworth 6- quelques nouvelles d’ici un peu molles et les dernières cabanes qui arrivent : YES ! , 7- l’annonce au Palais de Tokyo de la perspective d’un Bel Eté, sexy et aventureux : hayo sur CASANOVAFOREVER, all over the Languedoc-Roussillon, 8- le choix de faire silence sur d’autres choses 9- un petit flash back en quittant Paris hier soir. Le labyrinthe du métro morne et silencieux comme un dimanche soir. Enfiler comme un automate couloirs, escaliers, encore couloirs, dernier escalier, se claquemurer dans son manteau en feignant d’ignorer l’étreinte glacée des mains de la nuit. cases iphone 6 Hisser un bagage trop lourd jusqu’à ma balé à Paris, enfin ma case ou si vous préférez ma chaumière, ma piaule quoi, ma tôle. Mais non pas un taudis ! Ni un gourbi, pour qui vous me prenez vous ? Pas tout à fait comme mon cabanon aux Goudes, un peu dans le genre d’un perchoir ou d’une gloriette. A peine plus grand qu’une logette, certes. Cernée de maisonnettes et de cahutes. iphone 7 case marble Oui, avec niche pour chien… Un château, un palais ? En quelque sorte. C’est là, avant dernière rue, à l’angle du boulevard des Pyrénées. A gauche, puis à droite, porte rouge, digicode 1, digicode 2. Un étage, deux étages, parquet qui craque, trois étages, réamorcer la minuterie. Encore deux étages. Deux portes sur le palier. A gauche toute. iphone 6 diamante case Clefs dans la serrure. Bienvenus dans ma cabane, – les cabanes… the end ce soir, mais à suivre pour ceux qui ont répondu.

Casanova forever “off” Narbonne – “surbais(s)er” de J.C. Alix

Palais des Archevêques – cour d’Honneur Narbonne du 7 juillet au 30 octobre 2010 Bons baisers d’Alix :… iphone 6 apple case fake sur un pont surbais(s)é Est-ce vraiment un pont ? Oui ! ce n’est que de cela qu’il s’agit ! Alors, au moins, y danse-t-on ? Non, on ne fait que le passer pour aller aux Plombs, à l’enfermement ! Mais les avaient-on déjà volés ces plombs, plombier ou ferrailleur indélicat et sans vertu, en avait-on perdu le fil, en maçon bavard et incompétent ? Alors là non, non et non ! Alors quoi ? Jean-Christophe Alix veut-il, en poète saturnien ayant du plomb dans l’aile, se guérir de sa mélancolie par un probable saturnisme ; le mal par le mal ? Décidément non, toujours non ! Alix va très bien. iphone 7 case union jack A peine concédera-t-il qu’il aurait aimé avoir un peu plus de plomb dans la tête, (mais l’on peut faire sans), pour tenter de rendre les soupirs, les désirs et les aveux des Dogaresses et des messes libertines des couvents sous les images de Saint-Marc .Peu importe, car comme le disait déjà Alfieri : »le culte des images et d’autres points du dogme ne seront jamais ceux qui, crus on non, influent sur la liberté politique » Cela n’empêche donc pas d’être sur ce pont, d’avoir le pied léger malgré le plomb dans les chausses : Ah ! Casanova was here ! Certes !, et alors ? Il n’y aurait plus rien à dire ? oh, si ! il suffisait de savoir encore entendre les lèvres, les grandes, les petites, les vierges et les rouées, qu’elles soient sous le fard ou le duvet. Ah ! comme elles murmurent, épellent, sucent et se mêlent. touch screen iphone 6 case Doux concert qui monte du canal où elles se mirent et qui rend fous les geôliers et les passants de hasard qui les entendront. vegan phone case iphone 6 C’est ce monde, ces sensibilités-là, qu’à l’invitation des services culturels de la municipalité de Narbonne, J-C. Alix présente, à la manière du «off d’un in ! ». tendlin iphone 8 case Son travail, une installation-sculpture, modeste d’envergure et d’espace, aura trouvé refuge au bas des escaliers conduisant au Musée, c’est-à-dire aux appartements de l’Evêque.

Arles 41e rencontres de la photo

de Florence JOU Arles. Séquence 1. La tension retombe. Le bruit de l’obturateur se fait plus doux. Ici, les professionnels ont laissé place aux badauds, aux promeneurs, aux amoureux. Faire le tri, se laisser surprendre, ouvrir des portes, en refermer d’autres. Ne pas hésiter à dire non, à prendre le temps de recevoir une image dans ces 41e rencontres de la photo, dont on ne sait pas toujours si le fil conducteur est « lourd » ou « piquant » et si le rhinocéros rose, marqué désormais du sceau « I hate photography », ne boit pas la tasse… Quelques étapes, certaines tendues d’images, d’autres invisibles. La collection Marin Karmitz à l’Eglise des frères précheurs. Dans ce lieu gothique magnifique, on est traversé par la beauté de l’argentique, on lit les visions floues et torturées de Mickael Ackermann, dans un livre qui se déploie et qui nous transporte dans les vertiges de ses voyages. Dans le travail d’Antoine d’Agata, on côtoie des lieux de mémoire ou des personnages à la Bacon, poings et sexes noués, identités flottantes dans leur transgression. Antoine d’Agata, qui durant la semaine professionnelle, autour d’un croissant, après le champagne éclusé, venait pour la balade et non la représentation, dans une touchante timidité. polka dot iphone 8 case L’artiste ne ressemble pas à ses images, pas toujours. Heureusement. Le photographe suit une obsession, certes, mais qu’il sublime et qu’il n’est pas. Artiste qui balbutie, qui refuse les codes, et qui apprend seul son langage, hors de l’école, à l’image de Mario Giacomelli. Seconde Etape. iphone 6 arsenal case La chapelle du Mejan, place Berberova. Giacomelli n’a pas appris la photographie, a commencé par la peinture et n’a pas hésité à forcer les contrastes, se foutant sûrement d’être quelqu’un. . . Sonnaient les calmes Voûtes, et les rues alentour, À ta chanson sans fin, Alors qu’assise à ton œuvre de femme Tu t’appliquais, heureuse De ce vague avenir que tu rêvais en toi. C’était mai plein d’odeurs, et tu aimais Passer ainsi le jour. Extrait:A Sylvia. drop proof iphone 8 plus case Leopardi. . Lire la voix de Leopardi, parlant de Sylvia disparue trop jeune, ressentir l’amour, la terre natale jusqu’à l’abstraction, jusqu’à voir les traits de la terre, la chair de l’écorce….La série sur les prêtres et leurs jeux, tels des gamins, tels des taches d’encre de chine, proche des fantasmes felliniens… Extrêmement poétique. Mais parce que les maîtres sont si difficiles à oublier, il faut ensuite errer dans les rues, sentir le Mistral sur sa peau, se laver et chercher les pochoirs de Miss Tic, l’enfant des fifties, entre la galerie Arlatino où elle expose et les devantures, les porches, la piscine Tournesol, où ses phrases assasines ne prennent que plus de valeur. Vers le Rhône, chacun se contemple: les hommes sont beaux, coiffés de leur panamas; les femmes sont avides de soleil et de glaces. Mais l’art dans tout ça… A La Vitrine, tenue par Julie et Aurélie, il est bon de rentrer et de faire des rencontres, d’être dans l’échange simple, celui de deux jeunes femmes qui investissent cette maison arlésienne, tortueuse, en pente, délabrée, pour montrer leurs coups de coeur: Mélanie Duchaussoy et ses montres hybrides, monotypes inquiétants. . . . . . . . . . . . iphone 8 case glitter Jean-François Mosca, le voyageur, avec son moleskine sous le bras, qu’il a scanné parfois, fait éclater par anecdotes ses interrogations pessimistes sur une époque bouffée par la technologie…. Iris Martin scande « le cerveau est un muscle gras »et transforme barbie en « fat girl » …Et d’autres à découvrir. Et surtout, ne pas oublier de voyager incognito…. Les rencontres de la photo, jusqu’au 19 Septembre. Expos de 10h à 19h.

Frédérique Loutz – Jau espace art contemporain

Frédérique Loutz-Stephen Marsden-Château de Jau (66) Cases de Pène exposition du 26 juin au 26 septembre de Florence JOU Bal à Jau. En pénêtrant le travail de Frédérique Loutz, on s’expose à guetter l’ombre d’une danseuse aux pas dyonisiaques et retenus. En creux, forever, plane Casanova dans ses tableaux rêvés, ses acrobaties renversantes, ses yeux multiples qui sont autant de miroirs que d’appels à une entrée dans la chair du dessin. Loutz dissémine des visages, des fragments de corps, des jeux de mots, des femmes maternelles. Elle se plaît à les superposer, à les enlacer pour que le tourbillon d’une vie explose à force de frivolités, d’apparences dans une société du spectacle en danger de représentation. . checkered phone case iphone 6 Inquiétante étrangeté d’un monde où le regardeur ne sait plus si lui-même pourra encore voler un oeuf au-dessus des coulées volcaniques d’un polyptique. iphone 8 case back and front A la croisée des langues, des couleurs saturées et de l’encre de chine, se décline l’envie pressante et urgente de la rencontre entre un homme et une femme, entre des lumières savantes et déclinantes. minion iphone 8 case Loutz touche l’esprit puis extrait les langues du corps qui s’étirent. copper iphone 7 plus case Tout un réseau de personnages entament en écho, en rebonds, sur des fils invisibles d’une toile à une autre, d’un dessin minimal à un autre plus condensé des sarabandes. . . Au final, difficile de dire s’ils sont encore vivants, en attente de vie ou en fin de trajet. phone case for iphone 7 plus disney Des spectres colorés d’un colloque sentimental et surréaliste. Lust ich. Caprices. .

Anselm Kiefer – hyped art for the hungry, monied masses

A Shadow Essay by Kathleen Burlumi Art can be messy, gory, turgid or dirty. But as Kurt Schwitters said ; not every discarded bus ticket is interesting, unless transformed through the artists vision and intuition. It is not enough to use ingredients which have fascinating qualities in themselves and employ them only to ‘illustrate’ ideas however relevant or profound these may be. black charging case iphone 6 Anselm Kiefer has hitched himself to the biggest art – philosophical bandwagon in the world. A clever and determined man, he is obviously sensitive to the core of Joseph Beuys’ intense and visionary artistic practise, but he has nevertheless been annihilated rather than inspired by the power of the ‘Master’. Being aware of spiritual, philosophical and ecological debate since the 2nd World War, does not necessarily make one an artist. In Kiefer, a small talent has been stuffed, embroidered, glued, burned and rehashed through heavily conventional means of picture making to the point of stale pretentiousness. M. Kiefer is wearing the King’s raiments, but no blood is flowing through his veins. iphone 8 silicone case rose gold – This is media – hyped art for the hungry, monied masses, impressive and well made, like a Hollywood blockbuster, but leaving no footprints in the soul. Philip Guston created Alchemy with a small black line on paper – Edward Chillida with a block of softly sculpted stone. Richard Serra takes us under timeless compression to the centre of the earth, Mario Merz to the stars, and Gerhard Richter analyses the nature of becoming through doing. Dozens of artists far less known than Kiefer could exemplify magic, revelation and pertinence. shockproof case iphone 8 plus Mr. iphone 7 phone case cactus Kiefer should steer himself back to humility, to the empty spaces, and start his journey all over again. Respectfully Kathleen Burlumi . . . snugg iphone case 7 . Anselm Kiefer. Salt of the Earth 1 giugno – 30 novembre 2011 Fondazione Vedova VENEZIA . . . . . . .

LAC : Que du papier… mais une belle art manie !

QUE DU PAPIER Exposition regroupant les oeuvres de la collection peu ou jamais montré sur papier ou à partir de papier… Lieu d’art contemporain Hameau du lac 11130 Sigean DU 10 AVRIL AU 25 MAI 2010 Ouvert tous les jours sauf mardi : 14h – 18h On ne sait si une bonne et rare Pandore, fille d’entre terre et eau, y est pour quelque chose ; ou si, plus prosaïquement, Piet Moget mis de l’ordre dans ses greniers. Peu importe. phone cases for iphone 7 girls On peut voir en effet au LAC, une boîte, à souvenirs, une malle à jouets, un coffre à trésors, un album de famille élargie, ou un kit didactique pour revoir un demi-siècle d’histoire de l’art. Ce sera comme l’on voudra, il suffira d’avoir l’oeil fouilleur ! .Mais avant de l’ouvrir il faudra vivre un effet de dépaysement, car l’accrochage tranche avec les habitudes de la maison ! Cette rupture s’avère toutefois une fort bonne idée. 90s iphone 7 case Nous ne sommes plus en effet, dans une muséologie traditionnelle mais dans l’intimité d’un cabinet de curiosités. Et la nouveauté en devient ludique. Car au-delà des facilités de reconnaissances : Ben, Buffet, Calder, il y aura des identifications plus difficiles : ces tracés fulgurants, de Daniel Dezeuze, ces gestes graphes de Messager entre autres ; des énigmes aussi, ce petit paysage fait penser à ?…..et cette petite nature morte avec fruits ? Ailleurs on rencontrera l’oublié Aubertin et ses allumettes, ou l’affirmation affectueuse de la présence d’un ami disparu, Matias Spescha. iphone 6 case cute silicone Enfin, deux grands dessins sur papier dominent, l’un dû à Piet Moget, l’autre de sa compagne Mary Schallenberg qui font ainsi figures de bienveillants totems. En effet, la curiosité, le jeu, l’amitié, les admirations, les rencontres de hasard, durables ou éphémères, s’imposent à l’évidence comme la source de tout cela. Ce sont là des traces, de vies, de choix artistiques et éthiques que l’on nous propose. apple iphone 8 case cute .Avec amitié et sens du partage, ce qui ne se refuse jamais. à suivre…